Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
E-critures
27 août 2007

Vous êtes-vous déjà demandé ce que des produits périmés il advenait?

Vous êtes-vous déjà demandé ce que des produits périmés il advenait? Dans les supermarchés pas une marchandise sur lequel une date ne soit notée. Qu'arrive t-il à tous ces produits qui, la date fatidique dépassée, toujours pas n'ont été utilisés?

L'un de mes amis sur cette affaire a un jour enquêté. Les détails j'ose aujourd'hui vous révéler car le monde il vient de quitter. Jamais indemne de cette histoire n'est sorti. Sans doute la raison pour laquelle il s'est suicidé.

Voilà comment toute l'affaire par lui s'est déroulée. C'était un jour de mai. Il faisait bon et j'attendais des amis à dîner. Alors que je me demandais ce que j'allais faire à manger, constate frigo vide : un appel d'air à mes oreilles, le terrible appel du supermarché. Résigné, de ma voiture je prends les clefs.

Déjà perdu dans les rayons alors que je venais juste d'arriver. Je maudissais cette règle commerciale qui chaque mois l'odre des rayons chamboulait. Parmi les colorés paquets de couches culottes je me trouvais alors que c'étaient les surgelés que je cherchais. Tout à coup je m'arrête car j'entends comme une voix doucement m'appeler: «Gao Tian», je tends l'oreille. «Gao Tian». D'un coin sombre du rayon incontestablement, quelqu'un ou pire, quelque chose, mon nom prononçait.

Courageusement je m'approchais. La forme celle d'un homme à genoux de moins en moins floue. Mon ami B. je reconnaissais.

«Mon bon B. mais que fais-tu donc ici dans cette position à si doucement mon nom prononcer?

- Ah mon pauvre Gao Tian, si tu savais quelle triste situation aujourd'hui est la mienne.»

Je remarquais la pâleur de sa peau et ses yeux complètement cernés.

«Effectivement mon ami, pas bien l'air d'aller tu as? Qu'as-tu donc raconte moi?

- Gao Tian, pas beaucoup de temps me reste, vite je dois te parler. Te souviens-tu de cette affaire qu'un jour avec le professeur Z. nous avons abordées? Nous devions solutions pour produits périmées révolutionner, m'avait envoyé sur méthodes secrètes de l'entreprise D. travailler.

- Mais cela n'était-il pas il y a des années?

Je regardais mon ami stupéfait.

- Ah si tu savais sur quels secrets je suis tombé.

Et comme un animal traqué, autour de lui des regards jetés.

- Ils sont là en train d'arriver. Maintenant partir je dois te laisser. Si plus tu veux en savoir rends toi à ....

De m'indiquer un lieu secret où enfants nous aimions nos trésors cacher.

Et presque aussitôt il disparut.

Dire que depuis ce jour plus jamais je ne l'ai revu!

Pendant quelques temps, je me demandai si cet ami tout simplement n'était pas cinglé. Puis l'amitié le dessus reprenant, me rappela lequel mon devoir était. Et c'est par un soir pluvieux d'été, vers milieu du mois de juillet que dans de notre enfance la fôret comme un inconscient je m'en allai. Si tout simplement à ce moment m'étais dit que B. aurait dû être interné, le cours de mes jours aurait radicalement changé.

Quand j'arrivai, grand noir il faisait. La pluie un peu s'était calmée. Avec sur moi vert mon kawé, lampe de poche me guidait. Les ombres, dans mon corps des tremblements. Le bruit lugubre du vent soufflant. Le seul homme au milieu de tant d'êtres vivants. Mais finalement indemne où point par mon ami fixé j'arrivai. Ma tête levé par trou dans feuillage des arbres la lune pleine je pouvais dans mes yeux laisser se refléter.

Ma pêle dans les mains bien j'avais prise. Me suis mis à creusé. A chaque coup dans le sol, dans mon dos des regards me transperçaient sentais. A me demander si ma propre tombe pas en train de creuser je n'étais.

Enfin heurte quelque chose de plus dur. Une boîte métallique. Pas plus grande qu'une boîte à chaussure. Moins haute.

Toujours cette impression qu'on me guette. Prends la boîte pas très lourde. Vers la voiture me dirige à grand pas :  y a-t-il quelqu'un derrière moi?

Le jour commence à se lever, quand j'y suis arrivé. Clef dans contact phares allumés. Un doute et me reprends. Quelle peur irrationnelle m'a gagnée. Sans doute cette boîte souvenir d'enfant oublié. Le moteur coupé. Confortablement installé, le couverle enlevé.

Dans la boîte une grosse enveloppe dans laquelle je plein de relevés de compte trouve. Et une vieille cassette qu'heureusement dans mon poste de radio lui aussi désué je pouvais écouter. Tourne le bouton, mets la cassette.

La première minute, un gribouilli sonore si bien que parvenu au bout de ma curiosité, à tout éteindre m'apprêter pour après cette nuit blanche, bien fatigué, à la maison rentrer me reposer. Quand, soudain, la voix, mon ami se met à parler:

«Non je ne suis pas fou et pourtant ce que j'ai vu rendre beaucoup d'homme l'est. Alors que chargé d'enquête sur méthodes industrielles, pour des produits périmés se débarrasser, sur une terifiante nouvelle suis tombé. Joint à cette cassette un épais dossier pour le prouver.  Les marchandises ne sont pas brûlées, beaucoup de mal pour le comprendre j'ai eu, obligé de dans un «incinérateur» me glisser pour comprendre qu'en fait vers une autre réalité, nous étions emmenés. Longtemps les voyages dans le temps, les hommes songeurs ont rendu. Mais combien triste la réalité est. On renvoie les dates limites dépassées dans le passé. Cette nouvelle pas si terrible l'impression vous avez. Mais problème c'est que pas uniquement à l'alimentaire cette histoire s'appliquer. A toute chose cette histoire. Parce qu'à la fin du temps l'homme semble être arrivé et sans cesse en arrière  pour continuer doit retomber. Régulièrement par vagues successives c'est de la Terre tous les habitants qui sont «incinérés» et dans un passé proche en fait sont replacés. Ne me demandez pas de bien vous l'expliquer, pour cela notes du professeur X.  n'hésitez pas à vous fier. Dernière chose peut-être la plus effrayante. C'est que cette limite de notre temporalité, à une effroyable espèce extra-terrestre nous la devons, car dans son espace limitée, nos minutes a eu besoin de grapiller. Sans le professeur X. à disparaître nous étions condamnés. Vous qui la cassette écoutez, qui que vous soyez de n'importe qui vous devez vous méfier. Notre ennemi peut dans notre monde habiter et nos corps posséder. Attendez que je vous contacte et que la phrase, «l'humanité a encore de l'espoir» j'ai pronocé, pour de cette affaire me parler. Car il est possible que nos existences soient directement mises en danger. Mais si à ne rien faire nous continuons nous sommes condamnés. Le professeur X. et mon professeur, le professeur Z. se sont sacrifiés. Si rien n'est fait, notre temporalité sera entièrement absorbée....»

Ainsi cela se terminait. Paniqué parmi l'épais tas de papier les notes de ce professeur X. je cherchais. Quelques feuillets et mes yeux de ligne en ligne, mouillés, car au fur et à mesure je comprenais la terrible vérité. Ces calculs qui pourraient les réfuter? L'humanité condamnée à perdre sa temporalité. Les maudits extra-terrestres allaient tous nous exterminer.

Quand je rentrai impossible de me coucher. Plusieurs journées sans sortir j'attendais : était-ce aujourd'hui que le téléphone allait sonner?

Et puis un jour, le téléphone et de l'autre côté, B. mon ami.

- B. que se passe-t-il?

- Rien de spécial, j'appelais pour prendre des nouvelles. En fait je voudrais  te voir un de ces jours ?

- C'est à dire que je ne sais pas... je suis très... occupé ces derniers temps. Peut-être une autre fois.

- Très bien. A bientôt alors.

- A bientôt.

La prévenance de mon ami m'avait surement sauvé la vie. Mais dans ma tête cette question sans réponse.

Quelques jours plus tard, j'apprenais son suicide. Une question si ce n'était pas lui au téléphone, pourquoi alors s'est-il suicidé?


Publicité
Publicité
Commentaires
E-critures
Publicité
Archives
E-critures
Derniers commentaires
Publicité