5 février 2008
Brrbrrrbrrr
Régulièrement respirer, jusqu’à ce que le mur et la pile de CD s’effondrent. Souffler comme sur un mobile et entendre les oiseaux s’envoler comme un ensemble syphonophorien. Les rêves restent et caressent les roses zèbrures des ravissantes voltigeants par-dessus les fenêtre aux verres brisées. Les barbares balourds bercent dans leurs barbes les bébés boiteux et boivent des boissons bosqueuses ou bavaroises. Les bateaux de balistes remplies partent. L’appareil sur le frigider ne bouge pas. Le réfrigirateur se remet en marche. Et la marchine à laver tourne.
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