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E-critures
6 septembre 2007

Promenade

On se promène on marche main dans la main. La lumière est éteinte. Le soleil est allumé. Mes devant yeux j'essuye la suie coule de ton maquillage. Ta figure abâtardie par le coulis noir au goût d'étoile en plein après midi de mois d'août. Dans ta main le pendentif qu'un jour je t'ai volé. Tinte. Les yeux de la demoiselle comme un aigle passant au dessus de ma tête n'effraye que les chouettes aux ronds. Blanc. Blanche. La ville blême. Le froid. Tu rougis. Tu dis que les jours malgré le réchauffement globale sont de plus en plus froid et tu dis que si tu avais conservé ton lecteur cassette tu pourrais écouter de la musique. Tu penses que ce n'est plus la mode de suivre la mode.

Tu penses. Un caillou. Sur lequel une fourmie. Se tient. Avance. Ses antennes. Des petits gestes. Vos regards se croisent. Elle pense. Tu es sur un caillou. Renversements incessants. Ascenceur et voitures à fond la caisse sur l'hotauroute. Chambre 322. La clé et son porte. Le manteau. Sent le tabac. Froid. C'est l'hiver.

Tu enfiles tes gants il monta sur le ring. Vous le frapperez en pleine figure. Qu'ils s'écroulassent. Dans le sang était répandu. Toujours cette jolie fille dont les yeux verts brillent. Tu t'agenouillerais. Et les décibels dans tes oreilles se heurtèrent aux murs de ton obsession. Vivre. A coupe de poing successif parce que son visage. Il a mal contre tu le frappe. Désormais le visage tuméfié, ne fera or plus de boxe.

Ils sont trois, trois hommes vaillants, ils ont les cheveux de la même couleur et res-mieux la vie. Ils montent sur la table et jouent des claquettes. Leur façon à eux de remettre en cause l'ordre de la vie. Leurs chaussures sont cirés.

Jaune. L'oeuf sur la pierre du volcan cuit. Noircit comme la fumée en volutes inutiles s'élève. L'étrangéité du paysage te traverse. La balle dans la vitrine dans la tête de l'homme d'état tétanisé s'écroule.

L'ensemble s'effondre. La structure simplifiée trop loin de complexité de la réalité ne se suffisait plus. Parce qu'elle avait des coups de soleil bien qu'elle mettait de la crème solaire. Il est inutile de toujours râler mais ça ne sert à rien non plus de continuer à faire semblant que c'est magnifique parce que le concept théoriquement est bon. J'éternue même quand je ne suis pas malade. J'éternue pour ne plus être malade. J'éternue. De toute manière même si je passe ma vie à y réfléchir. C'est indéluct...Euh inélucuta... indédébile...indéductable.

Comme des mots qui se traînent la patte. Et si tout était tout simplement décousu, une suite un mix à opérer et dont la linéarité dépend de la perspective. Le miroir réfléchit aussi. Dans la seule attente de la surprise qui ne viendra jamais au bon. Maintenant. Moment. Comme une remontée de sang dans la bouche, et je refuse de l'ouvrir pour que ma vie coule.

La non extranéité de l'extrasystole me conforte dans mon refus de m'extravaser. Sur la cuvette des chiottes. Comme tout le monde. Je chie.

Afin or désormais. De manger. Je suis allérgique. Je fais un régime.

De pire en pire, à catatomber sous les couloirs chauffés de la ville moite pue.

J'ai peur de tomber quand je marche sur les gouttière. Or désormais. Je continue. Je m'arrête.

J'habite en haut d'une tour. Je mets du linge de toutes les couleurs. Un spectacle haut en couleur. Le voisin du premier. Son saucisson. De bas étage.

Je ne lis plus. De livre papier. Je lis sur écran. C'est plus écologique.

Je ne lis plus. Delivre papier. Je lis sur écran. C'est plus économique.

Je recourde beaucoup de films de musique.

Lors des pannes d'électricité je suis bien embêté. Mais dans ma tête c'est tout un cinéma.

Il y a des places libres; A l'infini.

Sur le temple une devise: profite de l'instant et ne cherche pas le présent, à présent n'est plus le même et quand je vous voie enfermé dans vos stéréotypes je me demande si vraiment nous sommes contemporains. Entre deux wagons, un pistolet dans la main, se demande s'il va oser. Ouvrir la porte. Même si personne n'est là pour tapper.

Les textes. De mots en mots. Portent. Soulèvent. Se traînent. De maux en maux. De la vie. Parce qu'il ne s'agit pas de traire une vache. Quelque part dans un beau champ vert.

Le but vous voulez le connaître. Combien d'année de siècle et d'allumettes. Pour comprendre. Lévolution nécessaire. Prophétique. Au milieu des joueurs de claquette. J'annonce. La nature compte sur nous. Mes frères. Le progrès c'est vous.

Le progrès du rôle positif de la colonisation parce que l'igorance des conséquences économiques. Quand je plonge la tête dans ma baignoire la piscine municipale est plus vivable. Assurément l'homme est perfectible. C'est le grand pari.

Malgré ma toge, je me méfie des grands remèdes. Debout sur l'estrade, c'est comme ça qu'il l'avait craché sa phrase. Devant l'éstoquée assistance. Comme un parc d'attraction en pls chiant. Y  a plein de bouffe mais on peut rien bouffer parce qu'on doit se tenir comme un pengouin. Merdé, crie-t-il. Je reviens d'une expédion polaire satellitaire, ils ne se conduisent pas du tout comme ça. Les flash des photos lui tournent la tête, le temps de s'évanouir et les icebergs défendus avaient fondus. Mystérieusement. Comme le monstre du Locness. N'existe pas. La connerie. Peut être un jour. N'existe plus.

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