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23 août 2007

La poésie d'aujourd'hui n'est plus celle d'hier

La poésie d'aujourd'hui n'est plus celle d'hier

    Heureusement

Un petit con d'arrogant

S'en aller lui casser toutes ses dents

En reste deux sur le côté droit

Un ghetto où chantait une radio.

   Il pleut dans mon coeur comme il pleure sur la ville. Je suis infiniment un salaud et l'image de ma médiocrité se reflète à l'infini dans les flaques d'eau dans lesquels à cloche pied saute un enfant ciret rouge et bottes en caoutchouc. Accoudé au balcon je suis nostalgique de l'époque où on encore pouvait tuer à l'occasion d'un duel. Maintenant un problème d'argent. C'est encore plus con que l'honneureté. Alors je vends des bouteilles d'eau les jours de grand soleil aux touristes assoiffés. Secrètement le soir j'utilise plein d'aérosols. Le réchauffement climatique pour moi c'est bénéfice net.

Voir des canaux marée or produits toxicité maximale.

   Mon songe à  la douleur d'aller ici dans la soltitude de la sédentarisation extraordiaire.

Je ne vous prête rien car je vous donne ma vie.

Si tu étais aussi beau gosse que tu dis des conneries on serait condamné à te balancer sous un métro. Trop dangereux.

Je suis policier. La nuit dans le quartier. J'envoie dans des transformateurs des jeunes griller.

D'actualité des lettres des enfants qui partent se faire tuer.

Polémique. Plus de jeunes dans les rangs des CRS que dans les banlieues.

Ce matin fin de journée je reviens me coucher à l'heure où ma nuit blanchit.

Tout ça après tout c'est des conneries.

Les rafales de mitraillettes l'empêchent de marcher.

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