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E-critures
22 août 2007

Aigri ou pas par la nuit c/furieuse

Aigri ou pas par la nuit c/furieuse envie de manger du curie. Dans les dents ne choisit pas toujours et le Cd qui accompagnera la soirée dans ce cas sera toujours le bon. Du moment qu'on oublie pas de le changer une fois qu'il est fini rien de pire que de laisser tourner sans que jamais cela ne cese. Sauter sur le plancher de morceaux en morceaux. Pour tester solidité voire qualité de construction. S'effondre d'un bloc pour dégager champ lumineux et le quartier à nouveau brille. Sous les jupes des filles leurs longs cheveux mouillés tout agités. Ambiance décolorée spotlight nuit enfumée. Cigarettes pas encore éteinte mais le feu au corps. Caressés les corps qui se frôlent avide goûter à l'ivresse tant espérée dans la déception des toilettes aussi brutales et mécanique qu'une chase-d'eau résister et se consommer modérement des heures durant la nuit radio réveil faisant foi jusqu'à ce que les informations du matin mettent fin à débauches de nuit ne pas dormir parce que cachets seulement commence bons effets dans la douche avec le savon et le bruit de friture sans l'odeur. Ne pas fermer les attention pique du savon les yeux si rouges et regretter de croiser premiers rayons de soleil parce que teint et vie de zombi vampir partir métro ou bus taxi trop cher voiture individuel trop peu écologique courire en transpirant froid et parfois des remontées de soirées sous forme de liquide repas ou souvenir trip flash spot crise biasses de tension successives dans les toilettes de son bureau s'allumer une cloppe et trembler de tous ses membres, remettre le col de sa veste dans le froid du matin du mal à ouvrir la bouche à la boulangerie pour dire bonjour et commander les croissants simples chauds si vite avaler le lot pas trop de souvenir être un robot, à l'instinct parce que vivre à l'extérieur de son coprs vivre sa journée contre le radiateur qui surchauffe, moments d'excitations si forts et onze heures distributeur chocolat café sucre sale gout dans la bouche parler parler et difficile de bien se contrôler midi haut soleil écrase défois les paupières baissées et trop agité pour s'endormir ne pas arrêter de bouger, quelle heure il est quelle jour complètement paumé se retrouver à la maison et la musique réentendu allongé sur le lit un instant la douche chaude la vapeur revigoré sautiller partout avec téléphone visionage écrans yeux qui brûlent descendre les marches de l'escalier en faisant claquer les talons de ses chaussures. Une bière à la main dans la rue hurler pour un peu vivre tout seul au milieu de tout le monde. Céder le pas à son animalité. Juste un soir.

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