<!-- /* Style
9) L’aphorisme Célinien :
Au bout du cou du poulet, il y a toujours le poulet, il y a sa tête que surmonte une horrible crète. Et cette tête est une horrible braguette qui n’ouvre sur aucune intelligence mais sur une noirceur qui bien qu’animale me semble très humaine.
10) L’aphorisme Flaubertien :
La crête que porte les poulets nus, surmontent leur front à la manière des casquettes des écoliers attendant l’invitation de leur professeur pour rentrer dans la classe et se faire moquer.
11) L’aphorisme Molièrien :
Cachez ce sein que je ne saurai voir.
12) L’aphorisme Stendhalien :
Le poulet sans plume oui, mais pas le poulet sans cœur.
13) L’aphorisme Verlainien :
Au poulet à plume préférer celui à poils
(ou encore, « il pleure dans mon cœur comme il pleut sur le poulet sans plume » mais moins connu)
14) L’aphorisme Rimbaldien :
J’ai pris le poulet sans poiles, je l’ai posé sur mes genoux, je l’ai regardé dans les yeux et je lui ai dit : « tu finiras dans mon assiette ». Alors je l’ai mangé.
15) L’aphorisme Rosenthalien :
Parler avec un poulet sans plume, s’entretenir avec lui, l’aider et l’écouter oui, mais le comprendre, c’est autre chose.
16) L’aphorisme Mallarméen :
Poulet de dé en hasard que rien ne caresse surgit l’autre
Sans plumes
17) L’aphorisme Roubautesque :
Deux poulets, un couple, le souvenir d’elle, quelque chose de perdu, au-delà de la chair, il ne reste plus
De traces
18) L’aphorisme Micheaunien :
Je suis Plume de volatile, et mon ancien hôte les a toutes perdues.